drapeau paris saint germain

Quels sont mes meilleurs souvenirs au Parc des Princes ?

Culture

Supporter du PSG depuis mon enfance, j’ai souvent été au Parc des Princes voir des matchs. En grandissant, j’ai déménagé vers Bordeaux et même si j’essaie de revenir au stade plusieurs fois dans l’année, je reste nostalgique des moments vécus en tribune Auteuil…

Voici mon top 3 des matchs qui m’ont le plus marqué au Parc des Princes.

La défaite 1-0 contre le Milan AC en 1994/95

Ce match-là, je ne l’ai pas vécu à Auteuil, mais en tribune latérale aux côtés de mon papa. J’avais à peine plus de dix ans à l’époque et c’était la première fois que j’allais au Parc. Vous imaginez bien que je n’ai pas été déçu par l’ambiance et que je ne pouvais que tomber fou amoureux du PSG.

Le match est terrible. Paris est loin d’être ridicule. Ginola touche même la barre sur une action de grande classe en fin de match.

Pis, quelques minutes après, les Milanais partent en contre comme des joueurs dans Olive et Tom. Savicevic décale Boban qui crucifie Lama.

Je repense parfois à cette frappe de Ginola. Vingt centimètres en dessous et peut-être que l’on aurait aussi une C1 dans l’armoire à trophée.

PSG – Marseille et Pauleta le génie en 2004

Pour des raisons de sécurité, ce Classico se jouait en après-midi. Le soleil était à son apogée. Dans les tribunes, on est déjà chauds bouillants quand vers la 15ème minute, Pauleta accomplit un miracle.

Il se retrouve face à Barthez qui, en bloquant bien son but, l’oblige à s’excentrer. Alors que l’on imagine la situation bloquée, il tente un lob venu de nulle part et le réussit ! En face du virage, il célèbre son but !

Il réussit même le doublé en deuxième mi-temps et on finit par gagner 2-1.

J’étais tout heureux de trouver l’écharpe vintage du match sur Paris Memorabilia le mois dernier. Je la garde précieusement puisqu’elle me rappelle ces bons souvenirs.

La victoire 7-2 contre Rosenborg

1999/2000 a été l’année de mon premier abonnement à Auteuil. J’avais choisi d’intégrer le groupe des Supras. Depuis le temps que je les voyais enflammer le Parc, je rêvais de les rejoindre.

Rosenborg m’a emmené dans la folie de la tribune Auteuil. Ce n’était pas le match le plus important en termes d’enjeu, mais voir Paris enfiler 7 buts en Ligue des Champions alors que l’équipe faisait parfois peine à voir en championnat était magnifique.

Le scénario l’est tout autant. Rapidement, on mène 3-0. On est en folie et les Norvégiens mettent deux buts en trois minutes. Tout le stade imagine un scénario dramatique et puis, Paris se met à dérouler. Anelka plante deux buts dans le match, mais toute l’équipe a sorti une grande partie.